Didn't mean to leave you, so I'm sorry ~ Ryosuke & Tammin
Invité
Sujet: Didn't mean to leave you, so I'm sorry ~ Ryosuke & Tammin Lun 10 Juil - 0:53
Didn't mean to leave you, so I'm sorry
Ryosuke & Tammin
Pourquoi ne me réponds-t-il pas ? Aurais-je fais quelque chose de mal ? Aurais-je dis quelque chose de déplacé ? J'avais beau me torturer l'esprit, je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui pouvait clocher. Et pourtant, Ryosuke refusait de me répondre. Et ce, depuis mon retour. À moins que cela remonte à plus loin ? En vérifiant notre conversation téléphonique, je prends enfin conscience qu'il ne me réponds plus depuis pas mal de jours. Quelque chose a irrémédiablement changé entre nous et j'en suis effrayée. Ryosuke est l'une des dernières personnes à être restée auprès de moi. Je suis attachée à lui, bien plus qu'il ne faudrait. L'aurais-je perdu ? Non. Je refuse de croire à une telle absurdité. Nous sommes comme frère et sœur depuis près de 4 ans, maintenant. Ryosuke... Qu'ais-je pu faire pour mériter ce silence ? Pour subir cette torture ? Crois-moi que je vais obtenir ma réponse. Dès ce soir !
Tammin ! Où comptes-tu aller à une heure pareille ?
Faire le mur ? C'est peine perdue avec mon père. Il a un radar de détection de mouvements. Quoi que je fasse, il est au courant de tout. Absolument de tout.
Pardonne-moi d'avance. Je dois sortir, c'est très important. Tu me connais, tu sais que je ne me risquerais pas dehors à une heure pareille si ce n'était pas important.
Dans son regard se noyaient des tonnes de questions. Je les voyais et je les sentais arriver. J'allais subir un énième interrogatoire pour finalement obtenir un « non » catégorique et habituel. Alors que je m'apprêtais à le devancer et à plaider mon innocence, il m'embrassa sur le front.
Sois prudente.
Sur ces quelques mots, il partit rejoindre ses parents, certainement pour me couvrir. J'en profite donc pour sortir, soulagée mais étonnement surprise. Je me demande ce qui a bien pu pousser mon père à me laisser sortir. Lui qui, d'habitude, me surprotège et dirige ma vie avec une transparence presque inquiétante. Mais peu importe. Ce qui compte, à cet instant même, c'est son attitude à Lui.
Au début, nous étions deux étrangers qui se testaient sans cesse. Il a fini par devenir le chat et moi, la souris. C'était une relation unique pour moi. La première dans cette catégorie. Cependant, elle me faisait un bien fou ! Et petit à petit, s'est installée une certaine confiance. Nous nous sommes liées de la meilleure des manières. Lui, devenant comme un frère pour la fille solitaire que j'étais. Et moi, devenant comme une sœur pour le garçon perdu qu'il était. Nous nous complétions naturellement.
Mais je me suis absentée deux ans. Je sais que deux années n'est pas une période à prendre à la légère. J'aurais certainement du réfléchir un peu plus en détails avant de partir et d'accepter cette place de danseuse. J'aurais... j'aurais... Mais c'est le passé. Je ne peux plus revenir dessus. Je ne regrette pas mon choix. Je pense avoir pris le bon car j'ai vécu deux années de bonheur. De pur bonheur et cela m'a fait un bien fou. J'en reviens un peu plus sauvée. Même si le retour à la normale est destructeur. M'en voudrait-il de mon absence ? Je l'ai pourtant prévenu. Je ne suis pas partie comme une voleuse... Même si, je l'avoue, je ne l'ai pas vraiment autorisé à donner son avis.
Voilà mon tort. Peut-être m'aurait-il retenu ?
Mais tout de même ! S'il est fâché contre moi, c'est simplement parce que pendant ces deux années, j'ai du affreusement lui manquer, non ? Je ne me fais pas d'idées. Nous étions proches. Je n'ai rien inventé ! Il m'aimait autant que je l'aimais. De la plus pure des manières possibles. C'est ainsi que nous sommes liés, lui et moi. Une profonde et sincère amitié fraternelle.
Je n'ai pas cessé de penser à lui pendant mon absence. Après tout, l'amitié c'est toujours vivre un peu dans le cœur de l'autre. L'amitié, c'est écouter sans juger l'autre. Ni en bien, ni en mal. Et c'est l'aider avec douceur à remettre de l'ordre dans ses pensées. Quand tu ne te sens pas bien dans ta peau, l'amitié est là pour te rappeler toutes les qualités que tu possèdes. Qualités que tu sembles avoir oubliées. Quand tu partages une amitié, décider devient plus facile. Les problèmes semblent moins graves. L'amitié te fait le cadeau des plus précieux. Celui du temps. Le temps de partager. De rêver à de nouvelles idées. Et de réfléchir aux anciennes. Peu importe le temps que nous passons ensemble, tu découvriras toujours de nouvelles dimensions. Au travers du miroir et des liens qui nous unissent. L'amitié, c'est aimer l'autre pour ce qu'il est. Non. Pour ce qu'il fait. Et en se sentant aimé, on est capable de grandes choses. De s'accrocher. De réussir. Entre amis intimes, on apprend à donner. On s'épanouit. On devient moins égoïste. On ressent plus profondément. On aide avec plus de cœur. De voir le bonheur que l'on apporte à l'autre, nous sommes pris d'un immense bien-être. D'une capacité d'amour infinie. Où que tu ailles. Quoi que tu fasses. L'ami qui a su pénétrer ton âme sera toujours en toi. Il te prendra la main, tu lui prendras la sienne. Et il marchera toujours à côté de toi.
C'est ainsi que je vois les choses. C'est ainsi que je voyais le lien qui m'unissait à Ryosuke. Me serais-je trompée ? Est-ce qu'encore une fois, la vie s'acharne sur sa fille victime ? Pitié. Je ne veux pas me tromper. Pas cette fois. Je souhaite que l'amour que je porte pour lui soit réciproque !
Je ne t'ai jamais oublié. Ryosuke. Ce monde. Des semaines, des jours sont passés sans toi. Toi qui étais toujours là pour moi. Toi que j'ai quitté. À mes yeux, tu es l'être le plus cher que mon petit cœur puisse posséder actuellement. Quand je te vois. Je me dis sans cesse que toi et moi, c'est pour toujours. Je t'aime tant. Je ne pourrais jamais t'oublier. S'il me vient un jour cette idée, c'est que j'ai quitté ce monde. Et si je le quitte, c'est seulement parce que tu n'y seras plus non plus. La personne qui me fait tenir n'est plus mon père. Non. C'est toi. Et tes beaux yeux. Tu illumines mon monde. Mon être. J'ai attendu. Attendu mon retour pour que je puisse de nouveau te prendre dans mes bras. Tu m'as manqué. Et tu me manques, encore. Toi que je refuse de perdre. Alors, reste. Et pardonne mon égoïsme si mon absence t'as fais du mal. Ne m'efface pas de ta vie. Je t'en supplie.
Peut-être que ces mots devraient être prononcés et non seulement pensés. Mais encore faudrait-il que j'ai la force de me confier à ce point. De me découvrir et d'ouvrir mon cœur. J'ai certainement encore peur de perdre la partie et de souffrir. Comme toujours.
Le trajet fut si court mais à la fois si long. Je suis là. Devant chez toi. Ryosuke. Je t'en prie. Ouvre-moi ! Je suis enfin rentrée. Nous pouvons enfin, nous retrouver.
Je frappe une première fois.
Je suis désolée. J'ai raté bon nombre de tes appels. Les premiers mois de ma longue période d'absence ont été compliqués. Je n'ai pas réalisé à quel point, je pouvais être cruelle. Car je peux, parfois, traiter les personnes que j'aime comme... des bijoux ?
Je frappe une seconde fois. Est-ce des bruits de pas ?
Ryosuke, c'est moi !
Ma voix était toute enjouée alors que je pensais l'entendre derrière la porte. Mais les bruits de pas semblent s'éloigner. Pourquoi ? Que se passe-t-il ?
Je frappe une troisième fois.
Ryosuke, c'est moi !
Je réitère. Sait-on jamais. Ryosuke. Je suis désolée. T'ais-je fais autant de mal que cela ? Souhaites-tu me faire disparaître de ta vie ? Je me souviens encore de ton anniversaire. Nous l'avions fêté avant mon départ. Je suis désolée d'avoir été aussi aveugle. Mais suis-je vraiment sur la bonne voie ?
C'est... moi... Tammin...
Ma voix commence à faiblir. Non, mon corps entier. Je perds pied. Tout s'effondre autour de moi. Les larmes montent et coulent lentement sur mes joues. Je suis en train de perdre celui qui me maintenait la tête hors de l'eau. Je suis tellement désolée. Je ne comptais pas te quitter. Repense aux choses que nous avons eues avant. Ouvre-moi.
Messages : 295avatar & crédit : Miura SHohei + ma babe âge : 24 ans métier / étude : etudiant en art de la scène mais ... il vas plus trop en cours Sexualité : Bisexuelle & tatsusexuelle Localisation : dans tes rêves Champs libres :
Et j'appelle ça l'amour du risque, explore ton côté sombre
Remonte le col de l'utérus plus vite que Lance Armstrong
Moi j'ai vite appris à calculer leurs vices, penses-tu
Ma bite coincée entre ses cuisses en période de menstru'
Mais j'flirte avec le sordide, j'me débine pas
J'sais qu'l'argent qu'j'lui file va servir à payer les couches et l'Blédina
Ne surtout pas tomber dans l'empathie, crois-moi
T'es dans la merde si tu commences à faire ton délicat
Les putes c'est comme une séance chez l'psy, le p'tit plus
C'est qu'pour le même prix, t'as une personne qui t'consulte et qui t'suce
Sans barrière de langue, ni distinction d'âge
Moi j'avais même pas 20 ans, j'ai vite chopé l'virus
✱✱✱✱✱✱✱✱✱✱✱
You're the second part of me
MY BROMANCE WITH YOU
GO TO VEGAS
#TeamForceur
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Sweet Baby
I'll never let you down
Sujet: Re: Didn't mean to leave you, so I'm sorry ~ Ryosuke & Tammin Lun 10 Juil - 2:07
Didn't mean to leave you, so I'm sorry
Ryosuke & Tammin
Un jour, une rencontre. Tu l'aperçois au loin, on la présente devant toi ... C'est qui elle ? Fidèle à toi-même, salle gosse de première, tu lui as mené la vie dure, comme à toutes les personnes qui osent s'approcher un peu trop près de toi, comme toutes les personnes qui se retrouvent dans ta vie. Elle a morflé la petite. T'as jamais été de nature très gentille, et encore moins du genre à faire confiance au gens directement. Mais pourtant ... Pourtant, elle, elle est toujours resté près de toi, passant au-dessus de tes défauts, cherchant inlassablement les qualités que tu sembles perpétuellement cacher. T'as toujours préféré être le méchant, que la personne parfaite que tu es puisse être détestée comme il se doit, parce que c'est ça ... La haine reste bien meilleure que l’ignorance. Mais elle ... Elle ne t'a ni détesté, ni ignoré. Et c'est tout naturellement que tu as appris à l'aimer, a voire en elle quelqu'un qui serait capable de te faire sentir moins seul. Tu as toujours été quelqu'un de très entourer, un sourire charmeur, une blague en soirée, un charisme ravageur et ça y est, le peuple s'attroupe autour de ta personne ... Mais ce ne sont pas des amis. Tu ne les aimes pas vraiment eux. La plus part sont jaloux ou juste là pour profiter... Mais pas elle. Elle avec ses grands yeux qui pétille lorsque tu daignes enfin lui montrer un peu de sympathie. Elle est devenue comme ta sœur, comme la sœur que la nature avait finalement décidé de t’offrir.
Il y a deux ans, elle est partie, elle t'a laissé. Les personnes que tu aimes vraiment peuvent se compter sur les doigts d'une seule main. Elle est partie juste comme ça pour vivre sa vie, elle t'avait prévenue pourtant ; toi t'as juste souri sans rien dire ... Tu n'aurais pas dû la laisser partir, a la seconde même ou tu n'as plus eu l'opportunité de la voir, tout semblait se vider autour de toi. Évidemment, Tatsuya était encore la lui, et heureusement. Elle te manquait tellement, un manque que tu ne parvenais pas à remplir et dont tu ne parlais a personne. Le manque chez toi se transforme vite en haine, une haine que tu ne pouvais expliquer que par son absence. Durant les premiers mois, tu refusais de perdre le contact, mais petit à petit, il a fini par disparaître. Et borné comme tu es, t'as décider de te dire que t'en avais rien à foutre ... Le problème, c'est qu'un an plus tard, c'est lui qui partait, l'homme de ta vie, ton âme sœur, ton meilleur ami, ta moitié ... Et là, ça a été un véritable carnage dans ta vie, t'as changer à ce moment la, la solitude prenant le pas sur tout ce qui pouvait te rendre heureux. Tu t’étais focalisé sur ton rêve attendant leurs retours sans vraiment l'admettre.
Mais ton rêve s'est envolé, même lui a fini par t'abandonner. Tatsuya était revenu lui, votre lien était resté intacte ... Mais elle n’était toujours pas là. Et il y a quelques heures, t'avais reçu un message, puis deux, puis trois. Et alors qu'au premier moment ton cœur avait rater un battement ... Tu avais décidé de pas lui répondre. Mais elle se prenait pour qui ? En plus en ce moment, tu n'es vraiment pas d'humeur ! T'es déprimé. Et elle que tu avais finie par détester ramenait le bout de son nez. C’était une drôle de sensation que tu ressentais, un mélange de haine, de colère, mais aussi de soulagement intense. Tu ne répondais pas, tu voulais voir si elle allait vraiment venir... Et alors que tu ne voulais pas vraiment la voire, tu te surprenais à l'attendre.
T’étais plongé dans un jeu vidéo, le même depuis des semaines. Quand tu ne sortais pas, tu jouais. Les cours, t'y allais même plus. Soudainement, tu entends frapper à la porte ... Ce n'est pas Tatsu , il a une clé pour entrer. Alors ça ne peut être qu'elle. Tu te tends lorsque tu entends sa voix, la colère monte en toi ... Alors elle est vraiment venue ? Tu te lèves, posant la manette, tu marches vers la porte ... Mais tu changes d'avis, tu fais demi-tour alors que tu l'entends une nouvelle fois t’appeler. Elle précise qui elle est ... Comme si même après deux ans, tu ne reconnaîtrais pas sa voix. Tout ton être te crie de la laisser la , de la laisser souffrir comme toi t'as souffert ! Elle aurait jamais dû partir, vous étiez ensemble, tous les deux dans des familles qui ne voulait pas vraiment de vous ... Et elle t'a abandonné, te laisser seul lors des dîner organiser de vous deux familles. T'avais envie de lui crier de partir, mais ta gorge restait nouée.
Mais c'est plus fort que toi, tu t'avances hésitant vers la porte, tu poses ta main sur la poignée, est-ce que tu attends encore quelques minutes, elle s'en ira ? Tu ouvres la porte, lentement, avec précaution. Et là, ton cœur se sert, elle est la , devant toi , tu ne parviens même pas à la regarder dans les yeux. Partir, c’était son choix, t'abandonner en était la conséquence ... Alors est-ce que maintenant, tu avais envie d’être là ? Près d'elle alors que pendant 2 ans, tu avais du apprendre a vivre sans ta sœur ? D'une voix sèche, bien trop sèche pour elle, tu lui demandais simplement
« Qu'est-ce que tu veux ? »
C’était presque une vengeance pour toi, parce que tu es comme ça, si on te fait du mal, qui que ce soit, tu auras toujours l'intime conviction de devoir le rendre fois mille.
« Je croyais que t’étais morte... »
Et tu la blesses un peu plus, ce dont tu ne te rends pas compte, c'est que tu te blesses en même temps. Tu agis comme ça alors qu'au fond, tu veux qu'elle soit là, tu veux qu'elle te promette que ça y est, elle ne partira plus jamais ! Mais pourrais-tu même la croire ? Ta gorge restait nouée, envie de pleurer que tu refoulera aussi longtemps que tu le peux. Va vraiment falloir que tu songes a arrêter de chialer, car en ce moment, tu risques la déshydratation !
Sujet: Re: Didn't mean to leave you, so I'm sorry ~ Ryosuke & Tammin Lun 10 Juil - 3:00
Didn't mean to leave you, so I'm sorry
Ryosuke & Tammin
Alors que je posais mon front contre sa porte, mes larmes coulaient de plus en plus. En cet instant, j'avais honte. Honte de moi. Je refuse obstinément de montrer mes faiblesses en public. Et me voici en train de pleurer sur le pallier de mon frère. Comme une enfant. Oui, une petite fille. Je me fais pitié. Qu'est-ce qu'il me prend, tout à coup ? S'il ne veut pas ouvrir, c'est son droit. Après tout. Je n'ai pas à forcer le destin. Peut-être ne m'a-t-il jamais vraiment aimé. Peut-être qu'au fond, j'étais seule à y croire et trop aveugle pour voir son éloignement. Comme à chaque fois.
Je voulais lui crier mon amour. Ma tristesse. Mon désespoir. Mes regrets. Mais seules mes larmes continuaient d'exister. Et de là, les souvenirs s'enchaînaient. Notre rencontre. Sa froideur des premiers jours. Sa sympathie naissante. Ta dévotion pour son sourire. Ton amour pour cet homme qui ne sera jamais ton mari. Il sera bien plus important que l'homme qui partagera ta vie. Si tant est qu'il existe. Ryosuke, lui, existe. Mais bientôt, il n'existera sans doute plus.
Quelle est cette douleur qui grandit dans ma poitrine ? Ce trou qui se forme et qui me replonge dans mes plus sombres pensées. Dans mes plus douloureux souvenirs. J'en viendrais à me poignarder, en plein cœur, pour abréger mes souffrances. Mais, ce serait un comportement indigne. J'ai une promesse à tenir. Une vie à vivre pour trois. Pour vous que j'ai fais partir. Bien trop tôt. Mais je ne fais honneur à personne en me comportant ainsi. Je suis et resterais à jamais égoïste. Je n'ai pensé qu'à moi ! Encore une fois. Et au final, la danse ne m'ouvre aucune porte. Je suis devenue tellement pathétique. Je ne mérite même pas de pleurer contre cette porte. Je ne mérite pas de le retrouver.
Retour à la case départ. Toute joie et tout espoir s'envolent pour, sans doute, ne plus jamais revenir. Est-ce que je serais en train de redevenir la Tammin sombre et désespérée que j'étais il y a presque 5 ans ? J'en ai bien peur. Achevez-moi. Comment vivre sans lui ? Cela m'est impossible. Impensable.
Je suis tellement mauvaise en amour. Je fais sans cesse les mêmes erreurs. Encore et encore. Pourtant, je m'étais promis de ne jamais gâcher la relation que j'avais avec lui. Car elle était mon plus tendre et mon plus précieux trésor. Serais-je de nouveau seule ?
Je pose une main, que je referme en poing, sur sa porte. Je n'ai même plus la force de frapper. Mes jambes seraient presque sur le point de lâcher prise. Je pleure en silence et noie ma tristesse au plus profond de mon âme. Comme à chaque fois. Car personne ne doit me voir ni me savoir aussi désespérée. Je pensais pourtant que cette partie là était morte mais là-voilà qui revient. À grand pas. Tout sourire. Pour mieux me détruire.
Ce soir, ma vie me fait mal. Tristesse. Tu t'empares de mon cœur. La joie fuit ma tête. En pleurs. Un voile recouvre ma vie si pâle. Solitude. Dans le vide. Criant ma peine par des larmes silencieuses. Défiant la haine des heures pernicieuses. Chercher en vain une solution. Une issue de secours. Souvenirs d'un corps allongé près du mien. D'une chaleur, dans les moments d'angoisse. Des mots de réconfort. Présence d'un être offrant sa main en lien. Seule dans le soir. Avec une musique nostalgique en tête. Rythmant mon chagrin. Sur la page blanche, écrire un passé. Qui n'existe plus ? S'accrocher ou périr. Coucher ses rancœurs comme un remède magique. Dans le silence de ma vie. Vivre d'espoir. Lumière dans les mots qui ne sont pas prononcés. Récit en prélude. Comprendre ses erreurs. Contrer la lassitude. Accepter la réalité que demain sera noir.
Pourquoi est-ce que je pleure ? Pourquoi sur mes joues, tant de larmes ? Inondant mon visage et mes lueurs d'un voile sombre. Pourquoi mes lèvres ne sont plus sourire ? Irradiant comme une vague de bonheur mon cœur que je gratifiais de rires. Autrefois. Pourquoi cette douleur m'afflige comme une rivière brûlante ? Dans mes veines. Dévastant ce corps que l'amour néglige. S'enfermant dans des souvenirs souillés. D'un abandon arbitraire. L'amour est parfois épreuve et souffrance, dissimulé derrière des mots vides de sincérité. Dans un cœur avide d'histoire et d'errance. Aide moi à sourire et viens me regarder ! Vois. Je suis là. Et plus jamais, je ne te ferais de mal. Aide moi à sourire. À la beauté de la vie. À ses rires. À ses rêves. Prends ma main. Prends moi contre toi, comme tu le faisais autrefois. Pour me consoler.
De nouveaux pas en direction de la porte. Je me redresse et me presse de faire disparaître ces larmes honteuses et secrètes. Même lui ne doit pas me voir pleurer. Jamais personne ne doit me voir dans un tel état. Sans réfléchir davantage, je vois la porte s'ouvrir. Dans un soupçon d'hésitation. Le voilà ! Mais... Il n'ose même pas me regarder dans les yeux. Je l’écœure à ce point ?
Qu'est-ce que tu veux ?
Ces mots ont l'effet du poignard que j'attendais. Il vient de me transpercer. De par sa froideur du début. Ça y est, je ne compte plus. Nous sommes revenus comme en ce premier jour. Cette première rencontre. Non. C'est différent. Je le sens haineux. C'est pire qu'à nos débuts. Pire que tout...
Je croyais que t'étais morte...
Mon cerveau arrêta de fonctionner durant de nombreuses secondes. Ou minutes ? Il me croyait morte. Morte ? Il me voyait morte. Pour lui, je ne suis plus de ce monde. A-t-il seulement conscience de l'ampleur de ce mot ? Je me condamne tellement de choses. Je me répète sans cesse que je ne mérite pas de vivre depuis cette journée-là. Et il vient de confirmer mes dires. Le cauchemar. Viendrait-il de commencer ? Serait-il prêt à m'achever ? Seule une question réussit à se former dans mon esprit, devenu confus, et s'échappa entre mes lèvres.
Aurais-tu préféré que je le sois ?
Je le regarde. Bien que lui, continue de me fuir. D'effacer ma présence de la réalité. Cet instant n'est que dérisoire. Illusoire. Nous ne le vivons, certainement pas, de la même manière. Les larmes reviennent et n'étant plus moi-même, je les laisse tomber. Me montrant de la plus faible des manières. Je suis anéantie.
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Sujet: Re: Didn't mean to leave you, so I'm sorry ~ Ryosuke & Tammin Dim 23 Juil - 0:21
Didn't mean to leave you, so I'm sorry
Ryosuke & Tammin
Tu ne la regardes pas , son visage ne te dégoûte pas , ou peut être pas ? Tu voudrais tellement qu'elle s'en aille, c’était tellement plus facile pour toi de simplement la détester de loin que de devoir affronter ces sentiments qui te dévastent. T'es tellement pas bien , c'est trop dure de la voire devant toi. Ta respiration s’accélère, de haine ? De tristesse ? Même toi, tu ne le sais pas. C'est un tourbillon d’émotion qui crée un ouragan dans ton esprit et dans ton cœur. Tu te mords la lèvre et plonges ensuite ton regard droit dans les siens, suite à ses paroles, il est noir, il est en colère, mais il est surtout triste, vide. Pourquoi elle est partie ? Pourquoi elle t'a laissé ? Tu te mords la lèvre et plonges ensuite ton regard droit dans les siens, suite à ses paroles, il est noir, il est en colère, mais il est surtout triste, vide. T'as énormément de défauts, mais pas celui-là ! Autant, tu peux tromper lorsque t'es en couple, autant en amitié, tu es le pote le plus fidèle et investis du monde. Ton cœur s'affole. Pendant quelques instants, tu imagines un monde sans elle, un monde ou même l’espoir de la revoir n'existerais plus, ça te fais peur. Évidemment que non ! Tu ne veux pas l'a voire mort. Mais tu lui as fait mal, tu le vois dans ses yeux, et bâtard comme tu es, tu te sens étrangement satisfait ! Qu'elle pleure ! Qu'elle pleure comme toi t'as pleuré sans elle. Ses yeux semblent déjà briller, alors qu'ils débordent ! Ses larmes coulent soudainement, tes poings se serrent contre toi le long de ton corps. Est ce que tu aurais préféré qu'elle soit morte ? Bien sure que non ! Sa tristesse perle sur ses joues, mais alors que tu essayais de te convaincre vainement que cela te ferait du bien de la voire comme ça, tu te rend compte que ça te rend encore plus triste. Quoi qu'il en soit, quoi qu'elle te fasse elle reste ta sœur de substitution, celle qui t'a abandonné, mais aussi celle que tu aimes. Tes sourcils restent froncés, et pendant quelques instants le silence plane autour de vous, un silence lourd et difficile a supporter. Tas pas envie de craquer, t'as envie de te venger. T'en a fait pleurer des gonzesse, et ça ne t'as jamais empêcher de dormir... Mais la, ça te brise un peu plus le cœur. Tu avales ta salive, tes sourcils toujours froncé, les poings toujours serrés. D'un coup, sec et net, tu la tires dans tes bras, tu la sers, fort ... un peu trop fort même peut être ? En deux ans, vous en avez vécu des choses, et t'as l'impression que le temps a rattrapé est beaucoup trop long, comme si tout était brisé et que tu ne te sentais même pas l'envie de recoller les morceaux, et pourtant, tu la sers contre toi, ton visage enfui dans son cou et tes bras puissant s'enroulant autour de son corps fragiles.
« Putain ... »
Ta voix se brise, tu craques, tu ne pleures pas à grosse larme, ta fierté ne te le permettant pas, mais tes yeux sont humide, ta gorge nouée. « T'es vraiment genre .... Je ne sais même pas quoi dire ... Tu n'as pas le droit de mourir... Il ne fallait pas venir ici ! Je ne voulais tellement pas te voir ... Mais ... Putain de merde part plus jamais bordel !!!!! »
Tu es entre le fait d’essayer de la blesser et la réprimande. La douleur et la colère dans ta voix son clairement perceptible et tes bras ne se dessers pas d'un poil, ton visage reste enfui, caché dans ses cheveux. Au bout de quelques minutes, tu te détaches d'elle, ton regard brillant au bord des larmes se plonge une nouvelle fois dans le siens, ton Coeur bat si vite que ça te fais presque mal et d'un reproche à peine exagéré, tu lui dis :
« Moi ... Je t'aurais jamais fait ça ! J'aurais tout fais pour rester près de toi ou trouver une autre solution ! »
Oui, car tu sais que si elle s'en est allé, c'est qu'il y avait sûrement un problème. Dans ta tête, dans ton cœur, elle n'a pas pensé à toi comme toi, tu aurais pensé à elle.