Je viens pas { Tatsuya

Installée dans l'amphi, je relis mes notes ainsi qu'un des livres de médecines. Rien ne peut perturber ma concentration, même le nombre de texto que je reçois, et les appels. Ca fait une semaine que je ne le regarde même plus. Juste car j'ai besoin de vacance et que je ne suis pas une domestique. En gros, j'évite mon tortionnaire. Oh, je sais qu'il va me faire regretter mon silence mais c'est pas comme si j'étais son seul jouet. J'espère pour lui sinon, le pauvre gosse de riche, juste une personne pour faire ses volontés. Enfin, je m'en moque. Là, je prépare un examen avec mon groupe d'étude. C'est pas comme si il allait venir aux cours, c'est pas comme si il connaissait quelqu'un qui pourrait lui indiquer où je me trouve. Quoi que j'ai un doute. Si des idiotes se mettent à glousser pour un rien, je me barre. Enfin, en principe c'est ainsi que je survie. Surtout que personne n'est au courant qu'on se connait, c'est pas comme si l'étudiante timide que je suis pourrait connaître l'un des étudiants les plus populaires, quand il décide de se montrer.

Je vais me chercher un truc à boire. Je dis ça en pensant plus aller me griller une clope. Un livre ouvert dans mes mains, mes yeux poser sur les phrases, je continue ma révision sans me soucier des bruits de couloirs autours de moi. Sans voir où je mets spécialement les pieds. C'est ainsi que je rentre dans quelqu'un. Mon livre tombe entre nous, je m'abaisse pour le récupérer. Pard... Je lève ma tête pour sourire à celui que j'ai bousculé. Sauf que mon sourire ne s'affiche pas. Mieux, je me tais au milieu du mot. Mes yeux s'agrandissent sous la surprise. Ah! Pas de bonjour, rien. Juste un Ah! qui veut tout dire. Je détourne la tête n'osant pas vraiment le regarder pour savoir si il est de bonne humeur ou bien. Sauf que les autres font un cercle autour de nous. Personne ne va venir m'aider, bien entendu. Alors, je fais la seule chose qui me passe en tête à ce moment là. Sans vraiment le regarder, je joue mon rôle d'étudiante timide mais pas que. D'une voix toute timide, mon regard fuyant, rougissante. Je lui murmure. Tu es  là trop tôt, Tatsuya-chan.. Je croise les bras en faisant une moue boudeuse. J'ai pas fini d'étudier et j'ai pas faim.. Je m'approche de lui pourtant, avant de me mettre sur la pointe des pieds et poser mes lèvres sur sa joue. Parts le premier, je te rejoins très vite.. dans un siècle ou deux quoi.

Blasé et légèrement agacé en tombant à nouveau sur la boite vocale de son nouveau jouet, dont la voix joyeuse le foutait un peu plus encore en rogne, Tatsuya poussa un long soupire avant de claquer sa langue en signe d’énervement. À quoi jouait-elle ? Il ne lui avait jamais donné la permission de l’ignorer. Non, cette pensée lui était même inconcevable.  L’ignorer lui, le grand Nakagawa Tatsuya. Il commençait limite à penser qu’elle avait des envies suicidaires ou qu’elle était complètement maso, allez savoir cette fille pouvait bien être les deux vu la façon dont sa réelle image variait  complètement de celle qu’elle avait à la fac.  Il fallait limite qu’il lui dise de changer de voie pour devenir actrice. Alors qu’il jetait son téléphone un peu plus loin sur son canapé, il refleurissait déjà à la punition qu’elle allait recevoir. C’était son jouet et il était hors de question que celui-ci lui échappe. Tatsuya ne laissait aucun d’eux le quitter de leur plein gré non , c’était lui qui les jetait après s’en être lassé et cela n’était pas négociable. En même temps il faut dire qu’il prenait un malin plaisir à la torturer elle en particulier, car elle avait osé tenter de s’en prendre à son meilleur ami bien trop naïf pour son bien. Erreur fatale. Il avait tout de suite vu clair dans son jeu, ne connaissant que trop bien les filles dans son genre qui faisaient les belles pour voler les hommes appartenant à sa classe sociale. Il avait donc mis son plan à exécution et avait pris la voleuse la main dans le sac. Depuis ce jour, elle était à sa merci, bien trop effrayée de voir sa véritable image ternir celle parfaite qu’elle avait créée à l’université. Un sourire sadique apparut au coin des lèvres de Tatsuya alors qu’une idée brillante lui traversa l’esprit. Il attrapa son portable, prit ses clés et claqua la porte derrière lui, direction l’université pour aller chercher sa proie qui s’y terrait depuis une bonne semaine déjà.

Trouvée Ikuko était un jeu d’enfant. Il lui avait suffi de demander à une fille de sa classe par message ou elle se trouvait et bingo le tour était joué. C’était si facile d’obtenir ce qu’il voulait que ça en devenait presque ennuyant à la longue.  Alors qu’il parcourait les couloirs de la fac pour aller la chercher directement dans sa salle, il la vit au loin plongée dans ses bouquins. Finalement il n’avait même pas à se déplacer fantastique. Rapidement il se mit sur sa trajectoire pour lui rentrer dedans, il se délecter d’avance sur l’expression horrifiée qu’elle allait avoir. Et ce fut le cas. Un sourire dès plus faux orne son visage alors qu’elle commence son jeu d’actrice à deux balles.Les autres avaient beau y voir que du feu, ce n’était pas son cas.  Il l’écoute parler préférant rester silencieux jusqu’à ce qu’elle ait fini. Il la laisse l’embrasser sur la joue sans réagir, mais au fond de lui il bouillonne. À quoi jouait-elle au juste. Alors qu’elle lui annonce qu’elle part, il lui saisit le poignet. Elle veut faire son actrice très bien, il allait rentrer dans son jeu. Il parla assez fort pour que tout le monde puisse l’entendre « Désolé de te décevoir Ikuko-chan mais ce n’est pas toi que je venais voir... » Un petit râteau aller la faire un peu redescendre. Il lui sourit avant de poursuivre « Mais, puisque tu es là et elle non, tu feras l’affaire pour ce soir... ». Tatsuya état bien connu pour être un coureur de jupons et n’allait pas s’en priver pour jouer la dessus si ça pouvait la gêner devant les autres. Il s’approcha doucement d’elle « Tu sais on ira au lovehot- Oups tu veux pas que ça se sache c’est vrai ! » lui balançait-il l’air faussement innocent. Il s’approcha encore un peu plus d’elle, pour échapper du regard de la foule, le regard froid, il lui chuchota « Si tu ne veux pas que je poursuivre, tu vas me suivre bien sagement et en souriant, car après tout tu as une image à préservé pas vrai. » Ne lui laissant pas le choix, il installa son bras autour de son épaule pour s’éloigner d’ici pour rejoindre un endroit plus calme. Il devait lui montrer qui tenait les rênes ici et surtout, il voulait lui faire bien comprendre qu’elle n’avait pas intérêt à aller contre sa volonté si elle ne voulait pas voir son secret révélé au grand jour.

Parfois je me dis que j'aurai dû rester chez moi le soir où j'ai essayé de me faire Shô. Oh, ce n'est pas que je l'aime pas, je l'adore même.
Il me fait rire sous ses airs naïfs, sauf qu'il a fallut qu'il en parle à ça. Le type que j'ai percuté au milieu du couloir. L'étudiant populaire de la faculté de médecine. Je pourrai comprendre sa popularité. Après tout Tatsuya a tout pour lui, il est beau, il a du talent dans ce qu'il fait,
il est riche et il est doué de ses doigts, de tout ses doigts et performant en plus. Sauf qu'il s'est réveillé au moment où je lui vidais les poches. Et c'est là que le cauchemar a commencé pour moi.

Car il a fallut qu'il sache que nous étions dans la même faculté. Pire, il a vu que je jouais la comédie ici. Alors pour ne pas perdre la face, pour essayer de trouver du temps pour moi m'échapper de lui, je barre dans une improvisation. Il me laisse parler et je devrai savoir que son sourire au coin, n'annonçait rien de bon. Je claque ma langue contre mon palais, pire je lui lance un regard noir, il est le seul à le voir alors qu'il me tient le poignet. Connard,
Connard, connard. Je le déteste. Comment il ose me foutre un râteau. Pire, il... Je n'ose pas regarder autour de moi. Je sens leur regard alors qu'il parle fort. Que...
Il s'approche de moi, me lâchant pas. J'écarquille les yeux, prête à le gifler. tais-toi.
s'il te plait. Je baisse la tête en entendant des murmures autours de nous.
Pourquoi me tient-il ma bonne main, je ne sais pas le gifler de la main gauche. Pourquoi c'est la droite qui est calé. Il ... Ca ne sert à rien que je me pose ce genre de question, il le fait exprès. Il se venge de ma semaine de vacance. Il s'approche encore plus près de moi,
et des sifflements se font entendre dans nos dos. J'hoche juste la tête avant qu'il me tire vers les escaliers qui mène vers le toit. La porte se referme derrière-nous, je jette un coup d'oeil pour voir si quelqu'un nous a suivit et m'arrête au milieu des escaliers l'obligeant à s'arrêter aussi. Tu peux me lâcher. je lève ma tête vers lui. s'il te ... je me tais avant de reprendre s'il vous plait. Je lui lance un regard qui ne servira à rien mais j'essaye encore comme si un jour il allait se laisser avoir par ma petite moue triste que j'utilisais à l'orphelinat. Tatsyua-sempai, tu me veux quoi?
J'ai des examens à étudier, moi. Autant aggraver mon cas, non? J'ai pas le temps pour te distraire.

Tatsuya n’était pas de nature cruelle habituellement , il était plutôt un gars chill qui ne se prenait pas trop la tête et qui laisser couler beaucoup de choses. Mais voilà, Ikuko avait touché à la seule chose qui réveille en lui une méchanceté sans précédent, Shô. Sans le savoir à l’époque, elle s’était enfermée dans un piège finement élaboré par Tatsuya qui avait fait d’elle sa prisonnière, ne lui laissant aucune échappatoire si ce n’est un véritable enfer. Il lui menait la vie dure, s’assurait qu’elle le craigne suffisamment afin qu’elle ne tente pas à nouveau de duper son meilleur ami. Oui, elle avait fait sortir le véritable démon manipulateur et sans scrupule qui sommeillait dans ce gars assez calme et clément habituellement.

Il ne lui avait pas fallu énormément de temps pour tout connaître sur cette fille. Quelques coups de fil par ci par là, trouver son emploi du temps et les lieux qu’elle fréquentait avait été un jeu d’enfant. Il possédait un véritable réseau, une arme redoutable qu’il n’hésitait jamais a utiliser pour arriver à ses fins. Et aujourd’hui n’avait pas échappé à la règle. Alors qu’elle faisait sa petite impro à deux balles et qu’il lui avait sagement laissé le feu des projeteurs quelques minutes, il lui vola rapidement la vedette alors qu’elle lui lançait un regard noir qui l’effrayait autant qu’un petit chihuahua en grogne. Aucune crédibilité quoi. Il remarqua rapidement que son petit jeu lui avait fortement déplu alors qu’il avait dit bien fort qu’ils allaient passer une nuit de folie dans un hôtel. Elle n’osait plus regarder autour d’elle alors que lui prenait un malin plaisir à le faire avant de reposer son regard sur sa victime. Elle lui demande de se taire et il lâche un petit rire avant de lui chuchoter « Ça, il fallait y réfléchir avant de te lancer dans un challenge de théâtre minable que tu ne pouvais pas gagner. » Il avait toujours l’avantage sur elle, elle devait bien s’en douter. Après tout contrairement à elle, il n’avait rien à perdre et rien à cacher des autres. Il était presque toujours gagnant d’office dans cette histoire. Alors que les murmures augmentaient, son sourire le faisait tout autant. Il sent bien son énervement à travers les battements de son cœur qu’il sent grâce à son poignet qu’il tient entre ses doigts. Mais non, il doit la punir un peu plus, alors il s’approche encore pour cette fois-ci provoquer des sifflements dans l’assemblée. Gênée au possible en acquiesce et ils quittent enfin ce couloir pour se rendre au calme sur le toit.
Si lui avance sans aucune gêne, il remarque qu’elle n’arrête pas de vérifier que personne ne les suit, avant de s’arrêter en plein chemin dans les escaliers. Il la regarde lui quémander de la lâcher. Il rigole alors qu’elle commence à le vouvoyer. Sérieusement ? Il a l’impression de prendre dix piges d’un coup. Il la regarde tenter de l’amadouer de ses yeux doux, mais ça ne lui fait ni chaud ni froid comme d’habitude « Garde tes regards pour les autres cons, on sait tous les deux que ça ne marchera jamais avec moi. » Après tout il l’avait déjà vu passer une fois dans son lit pour la piéger. Il regarda son poignet qu’il tenait avant de dire « Je suis prêt à te lâcher, mais si tu penses une seconde à te casser avant qu’on ait fini de parler, ça ne s’arrêtera pas seulement à ce que tu as vu dans le couloir. J’ai toujours bien pire en réserve, saches-le. » Il lâcha son poignet assez froidement. Ce qu’il lui voulait ? Vraiment ? Blasé il lâcha un soupir agacé « Ce que je veux ? T’es sérieuse, tu n’en as pas la moindre idée peut être ? » Alors qu’elle commençait à lui parler de ses examens et du fait qu’elle n’avait pas de temps pour le distraire il la saisit par la taille et la reprocha de lui « Est-ce qu’une seule fois j’en ai eu quelque chose à foutre de ton avis ? Non. »  Il plongea son regard dans le sien « Tu as évoquer un point important à l’instant. Ton job est de me distraire or tu as ignoré mes messages, mes appels et j’en passe.Tu croyais vraiment pouvoir t’en sortir aussi facilement ?» Il poussa un petit rire avant de poursuivre « Tu es mon jouet du moment, donc si je te dis de venir, tu la fermes et viens. Si je t’appelle tu réponds et ne me fais pas chier. C’est aussi simple que ça. » Il la lâcha enfin avant de se frotter les mains sur son jeans et de la toiser « Je suis juste venu, pour te rappeler qui commande ici, car visiblement tu n’as pas encore saisi la situation dans laquelle tu te trouves. » Il était le chat, elle était la souris et ça, il allait falloir qu’elle se le rentre dans le crâne.

Je le hais et il le sait. Il s'en amuse.
Je le hais quand il ose leur faire croire qu'on va passer la soirée à l'hôtel. Une fois, je me suis fait avoir une fois, pas deux. Tout ça car j'ai osé essayer de piéger son meilleur ami. Comme si j'arriverai à faire du mal à Shô. Non mais, il l'a vu? Personne ne peut blesser le pianiste. Alors dans le couloir, j'essaye qu'il ne lâche pas le morceau. Ce connard en serait capable, juste pour s'amuser, voir ma réaction. Puis j'aurai répondu à ses messages, fais des quatre volontés cette semaine, il aurait quand même fait ça, juste car il s'embete. Gosse de riche ne sachant pas quoi faire de ses journées.

Alors je le laisse me tirer vers le toit tout en vérifiant que personne ne nous suit. D'un coup de pied, je ferme la porte. Je partirai pas. Tu as bien joué ton jeu pour qu'ils pensent tous qu'on va coucher ensemble. Je croise les bras, détournant le visage pour le singer. Mon job? Je le regarde crédule là. Il se fout royalement de ma gueule. avons nous un contrat? Me verses-tu un salaire? Je secoue la tête. Avant de passer à côté de lui, sans poser un regard sur sa personne. Après tout, il risque de me rappeler que c'est de la prostitution que je fais.

Sur le toit, je m'installe sur un muret, le regardant dans ciller. Et que dois-je faire pour te distraire? Et là, va savoir pourquoi, j'ai une idée qui me traverse l'esprit. Il va me repousser, mais c'est si drôle. Je me lève, m'approche de lui. Mes mains se posent sur ses épaules pour me permettre de prendre appuie sur lui. Sur la pointe des pieds, je vais lui murmurer à l'oreille. Tu veux un streaptease ? j'éclate de rire avant de poser mes pieds sur le sol. Posant ma main sur son torse, la remontant doucement vers son visage.

Tatsuya n’était pas de nature cruelle habituellement , il était plutôt un gars chill qui ne se prenait pas trop la tête et qui laisser couler beaucoup de choses. Mais voilà, Ikuko avait touché à la seule chose qui réveille en lui une méchanceté sans précédent, Shô. Sans le savoir à l’époque, elle s’était enfermée dans un piège finement élaboré par Tatsuya qui avait fait d’elle sa prisonnière, ne lui laissant aucune échappatoire si ce n’est un véritable enfer. Il lui menait la vie dure, s’assurait qu’elle le craigne suffisamment afin qu’elle ne tente pas à nouveau de duper son meilleur ami. Oui, elle avait fait sortir le véritable démon manipulateur et sans scrupule qui sommeillait dans ce gars assez calme et clément habituellement.

Si ses proches le voyaient agir ainsi, plus d’un serait surpris. Après tout rare étain et les occasions où l’on pouvait le voir aussi manipulateur, froid, distant et sans gène. Si Ryo se réjouirait de le voir ainsi en véritable connard, trouvant cela assez sexy et comique, Sho ne serait vraisemblablement pas du tout du même avis. Ce dernier n’accepterait jamais une telle attitude de sa part, et ce, peu importe, si la raison de tout cela est sa protection et son bien-être, il ne le cautionnerait jamais. Non, il ne fallait pas que ce dernier l’apprenne, sinon il risquait fortement de bouder pendant des mois et d’ignorer tous les messages de son mari, une chose que Tatsuya ne souhaitait absolument pas. Pourtant, même en sachant pertinemment tout cela, il était là, à torturer un peu plus cette fille qui au final avait déjà bien dû retenir la leçon. Il ne savait même pas pourquoi il continuait ce petit jeu. Était-ce de pour combler son ennui ? Ou encore par simple caprice ? Il ne savait trop dire, tout ce qu’il savait c’était que la faire chier était presque devenue une petite habitude. Dès que Min Ho n’était pas sous sa main pour le faire, ou que ses meilleurs amis et son groupe n’étaient pas disponibles, Ikuko apparaissait dans son esprit comme une bonne source de distraction. Un petit tue le temps assez amusant à ses yeux.

Il la regarde, amusé, fermer la porte et vérifier que personne ne les suit. Il sourit alors qu’elle lui annonce qu’il a réussi son coup « Comme toujours j’ai envie de te dire. ». Après tout, il est le genre de gars qui finit toujours par obtenir tout ce qu’il veut. Un sourire malicieux apparaît alors sur ses lèvres « Remercie-moi au lieu de te plaindre. Grâce à ce bobard, tu vas attirer un tas de mecs. Après tout, je suis connu pour ne pas choisir n’importe qui. » lui le stéréotype du riche, très populaire auprès de tous et doué dans tout ce qu’il entreprend alors qu’au fond il n’en branle pas une. Un gars qui en fait rager plus d’un, mais don les faveurs ont un avantage capital dans cette université. Sa place d’héritier d’hôpital a attiré pas mal d’étudiants de médecine et Ikuko en faisait partie, elle aussi. Il la regarde s’offusquer alors que le mot job a passé ses lèvres. Il hausse simplement les épaules avant de lâcher sans gènes « Et tous les gosses de riches que je t’ai aidé à mettre dans ton pieu pour faire tes petites affaires, c’est pas un salaire ça ? » Il soupire avant d’ajouter faussement innocent « Si ça te plaît plus, j’arrête tout.. » avant de sourire de manière provocatrice « Si ton souhait est de passé du statut de jouet à esclave, il n’y a pas de soucis on fait ça quand tu veux et là au moins tu pourras te plaindre que ce soit gratos. » il n’était pas sérieux quoi que.

Il la regarde s’asseoir alors, qu’elle lui demande ce qu’elle pourrait bien faire pour le distraire. Il se tait préférant voir ce qu’elle pourrait bien tenter. Et visiblement il n’allait pas être déçu. Il la regarde s’approcher de lui et se laisse faire alors qu’elle pose ses mains sur ses épaules alors qu’elle lui chuchote à l’oreille qu’elle lui demande s’il souhaite un strip-tease alors qu’elle pose sa main sur son torse avant de la remonter vers son visage. Un sourire joueur né au coin des lèvres de Tatsuya alors qu’il la tire vers lui et place sa main vers ses hanches. Il plonge son regard dans ses prunelles claires en affichant son sourire des plus charmeur, celui qui fait craquer bien des femmes. Il s’approche à son tour de son oreille pour lui chuchoter d’une voix suave « Seulement ça ? Je suis presque déçu de toi pour le coup. A croire que je m’attendais à un truc bien mieux... ». Il approche son visage à quelque centimètre du sien de manière à ce qu’elle sente son souffle sur ses lèvres. Il la regarde à nouveau, puis regarde ses lèvres lui faisant croire qu’il allait les embraser d’une seconde à l’autre. Mais non « Me dis pas que tu y as cru ? » lui lance-t-il alors qu’il la repousse sans user trop de force pour ne pas la faire tomber. « Je sais que tu rêves de passer à nouveau une nuit avec le bel apollon que je suis, mais c’est mort, désolé ma belle. La marchandise est trop précieuse pour être gaspillé. » lui lança-t-il en passant sa main dans ses cheveux ressortir à nouveau son sourire malicieux « Il faut bien plus que ça pour me faire craquer, retourne t’amuser avec tes bobos débiles,  apparemment ils sont assez cons pour tomber dans le panneau eux. » Il n’avait jamais mâché  pas ses mots avec elle et ne le ferait jamais sans doute. Après tout, leur relation n’était ni de l’amitié, ni de l’amour. C’était un jeu dangereux dans lequel il incarné le chat et elle la souris avec laquelle il s’amusait avant de la dévorer. .